Bruit au travail – Présentation de l’association JNA par Interson Protac et Sébastien LEROY La JNA c’est quoi ? La JNA ou Journée Nationale de l’Audition est une association bénévole à but non lucratif dont l’objectif est de sensibiliser, de diffuser et de prévenir le plus grand nombre aux dangers du risque bruit que ce soit à la maison ou au
Si le télétravail apporte de nombreux arguments pour mieux gérer la gêne du bruit collectif, il n’en reste que l’oreille demeure fortement sollicitée.Difficultés de compréhension de la parole, difficultés de concentration, fatigue, stress….existent aussi en télétravail et les résultats de la dernière enquête d’cotobre 2020 menée par l’association JNA « Comprendre
Avec la technologie de la directivité, les aides auditives ont redonné aux mUne sonnerie stridente, un brouhaha infernal dans les couloirs au moment de la récrée, une cantine bondée ou encore une salle de classe agitée lors des travaux de groupe. Il ne faut certainement pas creuser très loin dans
L’acoustique est un enjeu majeur en entreprise pour améliorer le confort collectif et le bien-être des collaborateurs dans les espaces de bureaux partagés. La densité importante et l’ouverture des espaces de travail peuvent être à l’origine d’inconforts sonores multiples : discussions, conversations téléphoniques, bruits de clavier, matériels….L’exigence des salariés face au
1 actif sur 2 se dit gêné par le bruit et les nuisances sonores sur son lieu de travail (*). Cette gêne n’est pas sans conséquences sur la santé et la performance. Le stress acoustique peut contribuer à une plus grande charge cognitive, source de tension et de fatigue. Une des solutions testées par le Laboratoire de Performance Humaine de Haworth est la diffusion de sons de la nature. Il ne s’agit pas de masquer le bruit, mais d’amener les personnes à relâcher la pression. Bruit des feuilles dans le vent, eau de la source qui coule, chants des oiseaux. Ces sons font partie de l’expérience humaine depuis les origines. Jusqu’à l’ère industrielle, ils faisaient partie de notre vie quotidienne. Les référents de l’étude ont effectivement pu constater au travers de l’observation des mouvements oculaires et des expressions faciales que, grâce à ces sons, les personnes arrivent mieux à se
1 actif sur 2 se dit gêné par le bruit et les nuisances sonores sur son lieu de travail (*). Cette gêne n’est pas sans conséquences sur la santé et la performance. Le stress acoustique peut contribuer à une plus grande charge cognitive, source de tension et de fatigue. Une des solutions testées par le Laboratoire de Performance Humaine de Haworth est la diffusion de sons de la nature. Il ne s’agit pas de masquer le bruit, mais d’amener les personnes à relâcher la pression. Bruit des feuilles dans le vent, eau de la source qui coule, chants des oiseaux. Ces sons font partie de l’expérience humaine depuis les origines. Jusqu’à l’ère industrielle, ils faisaient partie de notre vie quotidienne. Les référents de l’étude ont effectivement pu constater au travers de l’observation des mouvements oculaires et des expressions faciales que, grâce à ces sons, les personnes arrivent mieux à se
Enquête Ifop- JNA « Comprendre la parole au travail, un défi ? » Le télétravail ne contribue pas à régler les impacts du bruit sur la santé auditive, et peut même parfois les aggraver…. Plus d’un actif sur deux en télétravail (53%) déclare être gêné par le bruit et les nuisances sonores sur son lieu de travail. Pour plus de 80% des télétravailleurs, la pollution sonore a des répercussions sur leurs comportements et dégrade leur qualité de travail. Alors que la gêne auditive provoque des difficultés de compréhension de la parole lors de conversations téléphoniques pour 50% des actifs en poste, cette proportion s’élève à 65% chez les télétravailleurs. Cette nouvelle enquête initiée par l’association JNA montre aussi qu’il serait réducteur de considérer que seuls les secteurs de l’industrie ou du BTP sont concernés ; de même que seuls les 50 ans et plus seraient les plus gênés par
La revue scientifique The Lancet vient de publier une étude sur les facteurs de risque de la démence. Elle révèle que la perte auditive est le principal facteur de risque évitable. C’est l’une des conclusions du rapport 2020 de la Commission “Prévention, traitement et soin de la démence”. l y a trois ans, les chercheurs de cette commission avaient estimé qu’en prévenant les pertes auditives, 9 % des cas de démences pourraient être évités. La perte d’audition était ainsi un facteur de risque plus important que la dépression (4 %), le manque d’éducation (8 %), etc. Ces estimations ont été mises à jour à l’aune des nouvelles découvertes scientifiques. Ainsi, les chercheurs estiment toujours que la perte auditive est le principal facteur de risque évitable de la démence, mais que sa suppression réduirait l’incidence de la démence de 8 % (au lieu de 9, donc). 40 % des cas de démence évitables La Commission identifie 12
Association Nationale de l’Audition
20 avenue Paul Doumer
69160 Tassin La Demi-Lune
